Ça y est, je pense voir se dessiner le rituel du soir, après bientôt un an et demi à avoir mis en place celui du matin et plusieurs mois à définir celui du soir. Je le touche enfin du doigt !
J’ai décidé d’arrêter de travailler sur l’ordinateur à 18h, sauf les soirs où je regarde un film ou un live.
Je prépare alors le repas et pendant qu’il cuit, je fais la vaisselle de la journée.
J’aimerais mettre en place une heure de yoga ou de méditation certains jours, avant le dîner.
Mon objectif est d’être au lit à 21h30. Je me disais : super, je vais avoir une heure pour écrire, lire ou faire des activités manuelles.
Je me suis vite rendue compte que, si j’écoute mon rythme, à 22h, je suis fatiguée et je peux éteindre. J’hésite à m’allonger dès 21h, ça me semble tôt !
J’ai remarqué qu’en me couchant à 21h30, je m’endors plus vite après avoir éteint à 22h et le sommeil me semble plus réparateur.
Il faut que j’arrive à trouver comment faire avec mon téléphone mobile car je me fais souvent complètement happer.
Je réalise que j’ai encore du boulot et que cela ne va pas être facile à mettre en place avec les aléas de la vie.
Rien à voir avec le rituel du matin où j’ai juste à prévoir une heure avant de me lever.
Observer mon rythme, réussir à l’écouter, comprendre ce dont j’ai besoin et mettre en place une routine sur mesure est un travail titanesque.
Ma parentalite me fait beaucoup travailler sur cette notion : pour répondre le mieux aux besoins de ma fille, j’ai besoin que les miens soient satisfaits.
Et dans mon cas, cela passe par des rituels pour structurer ma journée et exister pleinement.
Photo : Annie Spratt – Unsplash
